dimanche 30 mai 2010

La consolante - Anna Galvalda


'Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. 'Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l'impression d'avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu'il est devant l'évier, s'asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C'est fini. C'est fini, tu comprends ?' Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l'appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tout se fissure en lui. Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l'évidence : l'échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir.



Aprés avoir adoré tous les précedents romans d'Anna Gavalda, j'attendais de lire celui ci avec impatience.. On retrouve la patte Gavalda mais ce n'est pas et de loin son meilleur roman. L'histoire traine vraiment en longueur, on s'ennuie ferme trop souvent mais malgré tout le charme Gavalda agit..

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