mercredi 29 janvier 2014

Katana, tome 2 : Dragon noir - Jean-Luc Bizien




Ichirô et les siens ont affronté de terribles épreuves. Ils décident de venger la mort de leurs parents en abattant le seigneur-dragon. Mais ce dernier connait sa puissance, et désire l'affrontement. Une seule arme peut vaincre le monstre : le katana du défunt Toshirô, dont la lame a été bénie des dieux. Où se trouve cette lame de légende? Existe-t-elle seulement ? Qui peut se montrer digne de la manier ? Les combattants devront s'unir pour relever l'ultime défi qui les plongera dans la plus terrible des batailles.





Editions Le Pré aux  Clercs
Publié en 2013
 364 pages
A propos de l'auteur : ici


ATTENTION SPOILERS EVENTUELS....

Tome 2 des aventures d'Ichirô et de ses frères et soeur. 
Nous les retrouvons donc après la révélation que vient de leur faire Hatanaka de leurs liens familiaux. 
Ces liens vont renforcer leur désir de venger la mort de leurs parents et les conduire à unir leurs forces et leurs courages pour assouvir leur vengeance et détruire le Daimyo transformé en dragon par la magie.
Seule l'épée de leur pére et le Guerrier de lumière pourront venir à bout du démon qui terrorise et détruit toute la région. C'est dans cette quête que nous suivons nos héros à travers un certain nombre d'aventures.
Autant dire que j'ai adoré cette histoire.
C'est puissant, vivant, prenant, enthousiasmant, pas de temps morts, pas de longueurs, pas de repos, on est sans cesse embarqué dans le feu de l'histoire et les pages se tournent toutes seules.
Dans ce tome il y a en prime beaucoup d’émotions  chacun des personnages révélant ses faiblesses mais surtout découvrant ses forces, ça donne lieu à des passages vraiment bouleversants et très forts.
De plus l'écriture tellement vivante et imagée de Jean Luc Bizien nous fait ressentir à fleur de peau et totalement les sentiments contradictoires qui habitent les personnages. Mais également on arrive presque à voir et à sentir les odeurs, horreurs qui entourent le Daimyo.. c'est vraiment impressionnant et même extrêmement dégoûtant par moment....
Les termes japonais, qui pourraient nous handicaper dans la lecture, finissent même par nous être familiers et sonnent comme une musicalité et une vérité qui apportent un vrai plus à l'histoire.
Vous l'aurez compris j'ai vraiment beaucoup aimé ma lecture et je la recommande chaudement. 
J’espère que la fin de la maison d'édition Pandore ne sonnera pas le glas de l'avenir de cette excellente série car ce serait vraiment dommage, la qualité de l'écriture de Jean Luc Bizien et sa façon chaleureuse de nous faire partager ses histoires méritent largement de trouver leur public et d'être couronnées d' un succès immense.


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