dimanche 29 mars 2015

Dégage - Valentina Diana




Mino est en pleine crise d’adolescence : il vit avec son iPod sur les oreilles, boit des litres de Coca-Cola, passe des heures dans la salle de bains à s’enduire les cheveux de gel, ne met jamais la table et, bien sûr, ne fait strictement rien au lycée. Ses parents sont divorcés et sa mère, qui s’apprête à se remarier, se sent quelque peu dépassée. 
Désespérée de n’avoir pas su offrir à Mino une vie de famille modèle, elle décide de s’engager dans un parcours de formation à la parentalité. Et de changer les règles du jeu avec son fils. 
Entre achats en ligne compulsifs, conversations avec des enseignants démoralisés et tentatives de pâtisseries lyophilisées, Valentina Diana aborde avec talent l’adolescence et l’éducation dans ce roman percutant, explosif et d’une infinie tendresse.

Editions Denoël
Publié en 2015
 271 pages
A propos de l'auteur : à venir
Traduit par Anaïs Bouteille-Bokobza


Les relations parents-adolescents sont souvent difficiles et lire ce 4ème de couverture plutôt intéressant ne peut que donner envie de découvrir ce roman. C'est bien ce qui s'est passé, j'ai été vraiment tentée de lire cette histoire dans le cadre du partenariat Denoël et malheureusement c'est une énorme déception, à tel point que j'ai abandonné ma lecture après 140 pages.

En fait je n'ai accroché ni à l'histoire, ni aux personnages et encore moins au style de l'auteure. 
J’ai trouvé que la façon de nous raconter cette histoire était confus, plat et sans accroche. J'aurais pensé qu'au vu du sujet abordé, le rythme de l'histoire aurait été plus percutant, plus violent mais surtout plus passionnant, hélas on en est loin.
C'est effectivement confus, quelques fois je ne savais même plus qui parlait, les personnages n'ont aucun charisme, impossible de s’intéresser à eux, impossible également de compatir ou de ressentir la moindre émotion tellement les personnages de Mino et de sa mère sont mous, passifs  et tellement le  style est lent et plat.

Je suis vraiment déçue de ne pas avoir réussi à entrer dans l'histoire mais quand ça ne veut pas, que lire devient un calvaire et un déplaisir c'est juste impossible de continuer, on ne peut pas tout aimer c'est sûr mais c'est toujours décevant de ne pas trouver le moindre intérêt à un livre qui pourtant aurait dû ou pu vous passionner. 

Je pense que ce roman devrait trouver son public mais malheureusement pour moi qui l’attendais avec impatience ça restera l'un de mes flops de cette année.

Merci aux Editions Denoël et en particulier à Célia Giglio pour m'avoir permis de découvrir ce roman.
Partenariat

2015

4 commentaires:

  1. Je vais le lire cette semaine . Avec un peu d'appréhension maintenant que j'ai lu en diagonale ,pour ne pas m'influencer, ta chronique.

    RépondreSupprimer
  2. Dommage de ne pas être allée à la fin...si j'ai lu sans vraiment d'intérêt mais sans agacement non plus ce livre, je dois dire que la fin est un peu étrange. Je trouve un peu grotesque cette invention qui montre que les adolescents sont sur une autre planète.

    RépondreSupprimer
  3. J'ai réussi à le lire jusqu'au bout mais effectivement il y a beaucoup mieux à lire que ce livre là !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Malheureusement je n''ai plus la patience que j'avais il y a simplement 10 ans en arrière pour m'accrocher et finir un roman qui me saoule complétement.. maintenant je préfère passer à autre chose.

      Supprimer