Mathilda Gillespie parlait trop, buvait trop et terrorisait son entourage.
Elle était richissime, avare et fabulatrice.Sa fille se droguait, sa petite-fille la volait. Son testament, ignoré de tous, les déshéritait.
On la retrouva noyée dans sa baignoire, enguirlandée d'asters et d'orties blanches, comme Ophélie et affublée d'une muselière en fer rouillé, comme une sorcière médiévale.
Ce suicide, ou plus vraisemblablement ce meurtre, était une sorte de chef-d'oeuvre, une énigme résultant d'une vie entière de mensonges, d'amours étranges, de haines et de violences.
Seul le journal intime de Mathilda pourrait peut-être en livrer tous les secrets. Mais ce journal a disparu ...
Editions Pocket (Policier)
Publié en 2004
384 pages
A propos de l'auteure : ici
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