jeudi 15 octobre 2020

Face mort de Stéphane Marchand



Le sous-lieutenant Georges Kabla, diplômé de Polytechnique, effectue un stage au centre radioélectrique des Alluets-le-Roi, qui est en réalité une base d’écoute de la DGSE. Sa mission ? S’occuper du paramétrage d’un logiciel de reconnaissance faciale particulièrement pointu, surnommé Face Mort. Mais lorsque ce dernier déclenche une alerte sur une vidéo, les événements prennent alors une autre tournure. Le jeune lieutenant décide de mener une recherche plus poussée. Une minute plus tard, le téléphone sonne : le conseiller spécial du directeur général lui ordonne de tout arrêter.
À des milliers de kilomètres de là, préposée à des missions clandestines consistant, sans ordre officiel, à éliminer des djihadistes français qui ne doivent sous aucun prétexte remettre les pieds dans leur pays d’origine, Maxime Barelli, capitaine dans les forces spéciales, avance dans un combat permanent entre ce qu’elle est et ce qu’elle accomplit. Mais les conflits qui l’entourent vont bientôt prendre une dimension exceptionnelle quand elle va découvrir qu’une arme mortelle d’un nouveau genre est en train d’être mise au point. Une arme aussi insaisissable que l’air et qui menace la France...

Editions Fleuve (Noir)
464 pages
Format : Epub
Publie le 15 Octobre 2020
A propos de l'auteur : ici


Que dire de ce roman, si ce n'est qu'il traite d'un sujet intéressant voire effrayant mais que sa lecture m'a ennuyée énormément.

Manque de rythme, personnages peu charismatiques et histoire trop longue font de ce roman une déception.
C'est une histoire intelligente mais qui manque vraiment de passion et de rythme.

Dommage mais ce roman trouvera son public c'est sur. Pour moi ce ne l'a pas fait malheureusement.

#Facemort #NetGalleyFrance




2 commentaires:

  1. Exactement le même ressenti pour moi ! j'ai mis une éternité à le lire....

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  2. J'avais lu d'autres livres de cet auteur que j'avais aimé mais celui ci c'est un echec pour moi. Rassurée de ne pas être la seule à ne pas avoir aimé.

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