A Montmartre vivent
deux chats extraordinaires. Bastet, la narratrice qui souhaite mieux
communiquer et comprendre les humains. Pythagore, chat de laboratoire qui a au
sommet de son crâne une prise USB qui lui permet de se brancher sur Internet.
Les deux chats vont se rencontrer, se comprendre s’aimer alors qu’autour d’eux
le monde des humains ne cesse de se compliquer. A la violence des hommes Bastet
veut opposer la spiritualité des chats. Mais pour Pythagore il est peut-être
déjà trop tard et les chats doivent se préparer à prendre la relève de la
civilisation humaine.
Editions
Albin Michel
309
pages
Publié
le 6 Octobre 2016
A
propos de l'auteur : ici
Fan
de chats, je ne pouvais pas passer à côté de ce roman qui les rends
protagonistes principaux de l’histoire, d'ailleurs celui qui habille la
couverture est magnifique vraiment.
Bastet
vit à Montmartre avec sa "servante". Elle rêve de pouvoir communiquer
avec les humains et les autres animaux mais n'y parvient pas à son grand
désespoir. Dans la maison voisine vit Pythagore, un siamois qui présente la
particularité d'avoir au sommet du crâne, une prise USB qui lui permet de se
connecter au monde, à internet et d'interagir avec tout ceci. La rencontre
entre nos deux matous va faire des étincelles et ouvrir un nouveau monde à
Bastet.
C'est
avec l'arrivée de la Peste véhiculée par les rats que l'existence des hommes et
des chats va prendre une direction inattendue.
Sans
dévoiler l’intrigue, ce qui serait dommage, je peux juste dire que c'est plutôt
angoissant, qu'on y découvre des notions très "humaines" de
solidarité, d'entraide mais aussi d'abus de pouvoir et de violence.
A
travers les chats Bernard Werber nous offre une vision assez sombre de l'avenir
même si l'espoir est tout de même présent.
J'ai
aimé cette histoire même si elle ne fait pas partie de mes préférées de
l'auteur, je trouve qu'il a réussi à vraiment nous proposer quelque chose
d'original et qui pose des questions.
Tout pareil, ayant moi même un chat chez moi, je ne pouvais pas passer à côté de ce roman... L'idée était très originale et puis ça changeait vraiment de ses derniers romans qui pour moi démontraient un certain essoufflement de la part de Werber
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