" La bière est fameuse, mais pas question de se torcher pour ensuite se faire piquer par les flics dans Tottenham High Road.
Il faut garder la tête froide quand on cherche la baston. Sinon, on est bon pour une dérouillée. [...] Dans tous les clubs les meilleurs connaissent le truc, ils laissent les petits cons gueuler et s'agiter et sauter dans tous les sens sous les caméras de télé. C'est une couillonnade. " D'une force et d'une efficacité extrêmes, ce premier roman met en scène Tom Johnson, un supporter hooligan de Chelsea.
Réaliste, cru et dérangeant, parfois drôle, Football factory est une vertigineuse poussée d'adrénaline. C'est à ce jour le livre le plus authentique jamais écrit sur la classe ouvrière anglaise.
Editions Points
Publié en 2012
399 pages
Traduit par Alain Defossé
Traduit par Alain Defossé
A propos de l'auteur : ici
Bien , comment dire... finalement tous les challenges n'aboutissent pas à des découvertes merveilleuses de nouveaux auteurs, ce roman en est un malheureux exemple car au bout de 150 pages je renonce à poursuivre et j'abandonne sa lecture.
Ce roman n'est pas fait pour moi tout simplement, premièrement je n'aime pas le football et une grande partie du roman tourne autour de ce sport et de ses à-côtés, deuxièmement je n'aime pas la façon d'écrire de l'auteur, l'emploi de ces termes racistes qui même si c'est du deuxième degré (ce que j'ai bien compris je rassure ceux qui pensent que je n'ai rien compris au livre) reviennent sans cesse et me gênent beaucoup, lire à tout bout de champs les termes "négres" et "feujs" a fini par me lasser sérieusement.
De plus je n'ai même pas trouvé l'histoire interessante, ni les personnages particulierement bien mis en valeur. Le thème de ce roman c'est l'ennui de la jeunesse défavorisée qui ne trouve une échappatoire que dans les rencontres de son équipe de foot fétiche contre les autres et surtout dans les suites de ces matchs où les jeunes peuvent donner libre cours à leurs penchants violents et à une débauche d'alcool et de sexe
Certes on est bien dans un milieu défavorisé, qui ne trouve du plaisir que dans la violence et les beuveries mais la narration trop détachée ne m'a pas permis de ressentir la moindre émotion concernant les vies difficiles des personnages. L'ennui de ces jeunes se ressent c'est sur mais on reste vraiment spectateur, je ne suis pas parvenue à m'immiscer dans le roman et je n'ai réussi qu'à m'y ennuyer à périr.
Je n'aime pas abandonner un roman mais en même temps je n'ai plus envie de perdre du temps avec des livres qui m'ennuient et me déplaisent totalement donc je l'abandonne sans regret et je ne suis pas sure d'avoir envie, un jour , de relire une autre œuvre de cet auteur.
Encore une fois je pense qu'on ne peut pas aimer tous les styles littéraires, et les échecs nous permettent de mieux appréhender ce qui nous convient comme lecture et de toute évidence le style de cet auteur n'est pas dans mes préférences.. mais comme on dit il faut de tout pour faire un monde..je suis certaine que certains crient au génie concernant ce roman, pour moi ça n'a pas fonctionné... c'est comme ça.
Bien , comment dire... finalement tous les challenges n'aboutissent pas à des découvertes merveilleuses de nouveaux auteurs, ce roman en est un malheureux exemple car au bout de 150 pages je renonce à poursuivre et j'abandonne sa lecture.
Ce roman n'est pas fait pour moi tout simplement, premièrement je n'aime pas le football et une grande partie du roman tourne autour de ce sport et de ses à-côtés, deuxièmement je n'aime pas la façon d'écrire de l'auteur, l'emploi de ces termes racistes qui même si c'est du deuxième degré (ce que j'ai bien compris je rassure ceux qui pensent que je n'ai rien compris au livre) reviennent sans cesse et me gênent beaucoup, lire à tout bout de champs les termes "négres" et "feujs" a fini par me lasser sérieusement.
De plus je n'ai même pas trouvé l'histoire interessante, ni les personnages particulierement bien mis en valeur. Le thème de ce roman c'est l'ennui de la jeunesse défavorisée qui ne trouve une échappatoire que dans les rencontres de son équipe de foot fétiche contre les autres et surtout dans les suites de ces matchs où les jeunes peuvent donner libre cours à leurs penchants violents et à une débauche d'alcool et de sexe
Certes on est bien dans un milieu défavorisé, qui ne trouve du plaisir que dans la violence et les beuveries mais la narration trop détachée ne m'a pas permis de ressentir la moindre émotion concernant les vies difficiles des personnages. L'ennui de ces jeunes se ressent c'est sur mais on reste vraiment spectateur, je ne suis pas parvenue à m'immiscer dans le roman et je n'ai réussi qu'à m'y ennuyer à périr.
Je n'aime pas abandonner un roman mais en même temps je n'ai plus envie de perdre du temps avec des livres qui m'ennuient et me déplaisent totalement donc je l'abandonne sans regret et je ne suis pas sure d'avoir envie, un jour , de relire une autre œuvre de cet auteur.
Encore une fois je pense qu'on ne peut pas aimer tous les styles littéraires, et les échecs nous permettent de mieux appréhender ce qui nous convient comme lecture et de toute évidence le style de cet auteur n'est pas dans mes préférences.. mais comme on dit il faut de tout pour faire un monde..je suis certaine que certains crient au génie concernant ce roman, pour moi ça n'a pas fonctionné... c'est comme ça.
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