À l'origine, Bénédicte Ombredanne avait voulu le rencontrer pour lui dire combien son dernier livre avait changé sa vie. Une vie sur laquelle elle fit bientôt des confidences à l'écrivain, l'entraînant dans sa détresse, lui racontant une folle journée de rébellion vécue deux ans plus tôt, en réaction au harcèlement continuel de son mari. La plus belle journée de toute son existence, mais aussi le début de sa perte. Récit poignant d'une émancipation féminine, L'amour et les forêts est un texte fascinant, où la volonté d'être libre se dresse contre l'avilissement.
Éditions Gallimard
Publié en 2014
Format : ePub
279 pages sur Kobo
A propos de l'auteur : ici
La rentrée littéraire donne envie de se plonger dans plein de romans et la publicité faite sur certains nous induit en tentation encore plus rapidement, ce fut le cas pour ce roman qui est encore en liste pour le Goncourt.
Comment parler d'un roman qui vous a laissé tellement de sentiments différents.
En le lisant, j'ai commencé par détester le récit ayant l'impression de lire une histoire d'écrivain, totalement narcissique qui se regarde le nombril pendant des pages et des pages et j'ai vraiment pensé que ça n'allait pas le faire du tout.
Puis d'un seul coup on comprend que l'écrivain s'efface derrière Bénedicte Ombredanne, une lectrice qu'il rencontre et qui va se confier à lui. Notre écrivain nous raconte donc l'histoire terrible et triste de Benedicte Ombredanne, qu'il n'appellera jamais autrement pendant tout le roman et là le récit s'anime, devient passionnant et on plonge dans l'histoire de cette femme jusqu'au moment où patatras le soufflé m'a semblé retomber dans l'ennui.
L'histoire s'enlise et peine à avancer, ne m'emballe plus du tout et j'ai été tentée d'abandonner tellement je m'ennuyais pendant une cinquantaine de pages mais je ne sais pas pourquoi une petite voix me soufflait de continuer quand même.
Heureusement que j'ai écouté cette petite voix car la fin du roman m'a scotchée, pris aux tripes,abasourdie, désespérée, dégoûtée (les pervers narcissiques sont des monstres souvent méconnus malheureusement) mais en même temps enthousiasmée.
Quelle histoire! quels personnages! quelle femme! quelle intrigue! et quel final!!
Je ne sais pas si ce roman sera primé..je l'espère sincèrement parce qu'il le mérite largement tellement il est puissant et bien écrit.
La rentrée littéraire donne envie de se plonger dans plein de romans et la publicité faite sur certains nous induit en tentation encore plus rapidement, ce fut le cas pour ce roman qui est encore en liste pour le Goncourt.
Comment parler d'un roman qui vous a laissé tellement de sentiments différents.
En le lisant, j'ai commencé par détester le récit ayant l'impression de lire une histoire d'écrivain, totalement narcissique qui se regarde le nombril pendant des pages et des pages et j'ai vraiment pensé que ça n'allait pas le faire du tout.
Puis d'un seul coup on comprend que l'écrivain s'efface derrière Bénedicte Ombredanne, une lectrice qu'il rencontre et qui va se confier à lui. Notre écrivain nous raconte donc l'histoire terrible et triste de Benedicte Ombredanne, qu'il n'appellera jamais autrement pendant tout le roman et là le récit s'anime, devient passionnant et on plonge dans l'histoire de cette femme jusqu'au moment où patatras le soufflé m'a semblé retomber dans l'ennui.
L'histoire s'enlise et peine à avancer, ne m'emballe plus du tout et j'ai été tentée d'abandonner tellement je m'ennuyais pendant une cinquantaine de pages mais je ne sais pas pourquoi une petite voix me soufflait de continuer quand même.
Heureusement que j'ai écouté cette petite voix car la fin du roman m'a scotchée, pris aux tripes,abasourdie, désespérée, dégoûtée (les pervers narcissiques sont des monstres souvent méconnus malheureusement) mais en même temps enthousiasmée.
Quelle histoire! quels personnages! quelle femme! quelle intrigue! et quel final!!
Je ne sais pas si ce roman sera primé..je l'espère sincèrement parce qu'il le mérite largement tellement il est puissant et bien écrit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire