Vers 1850, pour rejoindre son époux à la manufacture hollandaise de Nagasaki, Alexandra van Polder brave les océans et les convenances. Avec elle, débute la saga océanique des Polder. Entre le Japon et l'Amérique, c'est le choc de l'Ancien et du Nouveau Monde, des histoires d'hommes qui domptent les mers et de femmes qui se jettent à l'eau par amour, une merveilleuse alchimie d'image et de magie qui se rejoignent par-delà le temps et les océans jusqu'à Sarah, son arrière-arrière-petite-fille. Et à travers ces êtres de chair et de passions : l'odeur du rivage, le bruissement de la soie, l'arrivée des immigrants sur l'île de Manhattan, la construction du Brooklyn Bridge et partout, d'un continent à l'autre, d'un siècle à l'autre, de l'eau, l'eau primordiale, miroitante, dangereuse.
Editions Le Passage
Publié en 2012
140 pages
A propos de l'auteur : ici
Que dire sur ce roman si ce n'est qu'après avoir lu
Non pas que l'histoire soit inintéressante, au contraire, dans celle ci on met en parallèle l'histoire de deux femmes, l'une partie au Japon en 1850 pour rejoindre son époux et l'autre, son arrière-arrière petite fille dans le New York contemporain. Toutes deux ont une passion commune la photographie.
Histoire de femme, d'eau, de ponts, d'images, c'est plutôt beau et interessant mais l'impression qui me reste est celle d'un récit confus et surtout inabouti.
Les personnages sont survolés, pas approfondis du tout, on a pas le temps de les apprécier ni de se les approprier et c'est vraiment frustrant.
Le côté confus vient aussi de l'écriture qui est très recherchée... trop à mon goût. Pas assez de fluidité, trop de mots compliqués, trop d'exercices de style ont nuit à l'intérêt que j'aurai pu porter à cette histoire.
Voila... un avis en demi teinte pour une nouvelle tentative de l'oeuvre de Valérie Tordjman...
Que dire sur ce roman si ce n'est qu'après avoir lu
"Faites vos valises les enfants, demain on va en Amérique"
et l'avoir moyennement apprécié j'ai également été déçue par celui ci et donc je pense que cela clôturera mon expérience littéraire avec cette auteure.Non pas que l'histoire soit inintéressante, au contraire, dans celle ci on met en parallèle l'histoire de deux femmes, l'une partie au Japon en 1850 pour rejoindre son époux et l'autre, son arrière-arrière petite fille dans le New York contemporain. Toutes deux ont une passion commune la photographie.
Histoire de femme, d'eau, de ponts, d'images, c'est plutôt beau et interessant mais l'impression qui me reste est celle d'un récit confus et surtout inabouti.
Les personnages sont survolés, pas approfondis du tout, on a pas le temps de les apprécier ni de se les approprier et c'est vraiment frustrant.
Le côté confus vient aussi de l'écriture qui est très recherchée... trop à mon goût. Pas assez de fluidité, trop de mots compliqués, trop d'exercices de style ont nuit à l'intérêt que j'aurai pu porter à cette histoire.
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