Les Mandy habitent de
génération en génération la même maison en bois posée au bord des rails près de
la gare Nyugati à Budapest. Le jeune Imre grandit dans un univers mélancolique
de non-dits et de secrets où Staline est toujours tenu pour responsable des
malheurs de la famille. Même après l'effondrement de l'URSS, qui fait entrer
dans la vie d'Imre les sex-shops, une jeune Allemande et une certaine idée de
l'Ouest et d'un bonheur qui n'est pas pour lui.
Roman à la poétique singulière, tout en
dégradés de lumière et de nostalgie, Sombre dimanche confirme le talent d'Alice
Zeniter, révélée par Jusque dans nos bras.
Editions Le Livre de Poche
264 pages
Publié le 4 Février 2015
A propos de l'auteur : ici
Deuxième mois pour les sélections du prix du livre de poche et de
nouveau trois romans proposés.
Sombre dimanche fait partie de cette sélection et je ne vais pas
le cacher plus longtemps, j'ai abandonné cette lecture dans laquelle je me suis
ennuyée à périr.
La quatrième de couverture semblait présenter une histoire intéressante,
ce roman a obtenu plusieurs prix ce qui augurait une lecture agréable mais
hélas pour moi ça ne l'a pas fait du tout.
Après 100 pages lues, j'ai jeté l'éponge car je ne voyais toujours
pas où l'auteure voulait nous emmener, je n'avais toujours pas compris la
finalité de l'histoire, toujours pas de secrets familiaux, qui doivent
arriver bien plus tard surement, des personnages fades et sans intérêt auxquels
je n'ai pas accroché du tout et un ennui tel que je n'ai pas pu continuer cette
lecture.
L'écriture en revanche est belle mais n'a pas suffi à me faire
trouver un intérêt à cette histoire et donc c'est un roman que je classe dans
les flops pour cette année 2015.
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